Chaque projet est une histoire à écrire, et c’est en back-end que j’en rédige les chapitres les plus solides. Entre lignes de code et structures bien pensées, j’orchestre la trame qui fait tenir l’ensemble. Voici les outils avec lesquels je façonne ces récits numériques.
Autrefois, mes interfaces faisaient pleurer les UX designers… Aujourd’hui, je structure, j’aligne et je rends ça (presque) propre grâce à Figma et Tailwind. Ce n’est pas encore du grand art, mais au moins, ça se laisse regarder ! Pas vrai ?
Le frontend brille en façade, mais c’est bien le backend qui fait tout fonctionner dans l’ombre. Je conçois des API REST, je structure des architectures efficaces (microservices ou couches, c’est selon) et je gère toute la logique qui fait tourner l’app. C’est ma zone de confort, et ça tourne plutôt bien !
Une base mal pensée, c’est comme une chambre en bazar : au début, on s’y retrouve… puis un jour, c’est la catastrophe. Alors je modélise proprement, choisis le bon SGBD, et optimise les requêtes histoire que personne n’ait le temps d’aller faire un café en attendant une réponse.
Je ne laisse rien au hasard ! Je rédige des tests unitaires pour chaque fonction, des tests d’intégration pour vérifier que tout communique bien, et des tests E2E pour m’assurer que l’app entière tient la route. Les bugs ? J’ai une petite longueur d’avance sur eux grâce à mes tests !
« Mais ça marche sur ma machine ! » La bonne phrase de truand qu’il m’arrivait de lâcher de temps à autre… jusqu’à ce que je me mette aux pratiques DevOps. Aujourd'hui, je conteneurise mes applications et je mets en place des pipelines pour automatiser tout ce que je peux. Ce n’est pas encore parfait, mais je m’améliore !
Un bon récit ne s’arrête jamais à un seul chapitre, et mon apprentissage suit la même logique. De nouvelles compétences sont à l’horizon, prêtes à enrichir les prochains actes de mon odyssée professionnelle.
